Entends-tu les pas de celui qui vient te prendre à terre te jeter, en toi s'épandre.
Ses paroles douces et chaudes à l'instar de ces mains.
Glissent sur tes hanches, subliment tes reins.
Son regard perce, le soir, les miroirs de ton âme.
Tes plus honteuses pensées, tes désirs, ta flamme.
Sa langue, choquante, ne peut point décevoir.
Rafraîchissant ta peau, la pointe de tes seins.
Androgyne sexuel aimerait,une fois au moins,entrer dans ce corps.... qui peut recevoir une pléthore de caresses, aussi brûlantes, que glacées.
Le goût du miel, a celui du sang mélangé.
Ses yeux prennent soudain, l'expression d'une catin jamais rassasiée, dévorée par la faim. Déposes dans tes fines mains le pouvoir phallique.
Les gestes se font divins, les regards diaboliques.
Brutalités et onctions, à outrance, mêlés, autant d'invitations à un viol partagé. Exhibitionniste et voyeur à la fois, avant de caresser par tes formes excité.
D'une raideur caudale fait léviter ces draps qui se jouent des cambrures, aimant ton corps déguiser, délice, le gourmand orifice.
Ce jardin mystique, où il aime à s'enliser; il glisse sur le chemin de tes cuisses puis pose ses lèvres sur les tiennes... trempées.
Sent tes cuisses, autour de sa nuque tressaillir.
Voluptés occultes, offrandes outrageuses, hurlement implicites entre effroi et plaisir. Dominer, se soumettre dans une scène scandaleuse.
Le remugle utérin devient alors le plus doux des parfums.
Bien plus froid que la mort.
Ce mal en toi, n'est pas là pour saillir, obscène, veut palper ton esprit, tes plaisirs.
Puis sentir d'une exquis spasme vaginal, le funeste sentiment d'une jouissance fatale...
Ses paroles douces et chaudes à l'instar de ces mains.
Glissent sur tes hanches, subliment tes reins.
Son regard perce, le soir, les miroirs de ton âme.
Tes plus honteuses pensées, tes désirs, ta flamme.
Sa langue, choquante, ne peut point décevoir.
Rafraîchissant ta peau, la pointe de tes seins.
Androgyne sexuel aimerait,une fois au moins,entrer dans ce corps.... qui peut recevoir une pléthore de caresses, aussi brûlantes, que glacées.
Le goût du miel, a celui du sang mélangé.
Ses yeux prennent soudain, l'expression d'une catin jamais rassasiée, dévorée par la faim. Déposes dans tes fines mains le pouvoir phallique.
Les gestes se font divins, les regards diaboliques.
Brutalités et onctions, à outrance, mêlés, autant d'invitations à un viol partagé. Exhibitionniste et voyeur à la fois, avant de caresser par tes formes excité.
D'une raideur caudale fait léviter ces draps qui se jouent des cambrures, aimant ton corps déguiser, délice, le gourmand orifice.
Ce jardin mystique, où il aime à s'enliser; il glisse sur le chemin de tes cuisses puis pose ses lèvres sur les tiennes... trempées.
Sent tes cuisses, autour de sa nuque tressaillir.
Voluptés occultes, offrandes outrageuses, hurlement implicites entre effroi et plaisir. Dominer, se soumettre dans une scène scandaleuse.
Le remugle utérin devient alors le plus doux des parfums.
Bien plus froid que la mort.
Ce mal en toi, n'est pas là pour saillir, obscène, veut palper ton esprit, tes plaisirs.
Puis sentir d'une exquis spasme vaginal, le funeste sentiment d'une jouissance fatale...